ALGERIA
la Nouvelle Generation

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ENERGIE ET MINES

La locomotive des réformes

La vague d'ouverture qui caractérise l'ensemble des secteurs est encore plus marquée dans celui de l'Energie, qui reste le champ dominant de l'économie du pays. Le développement de ce secteur et de celui des mines est un impératif pour la stabilité financière de l'Etat, la viabilité des finances extérieures et la croissance de l'emploi. Ce développement n'est plus envisageable sur la seule base de capitaux publics. Il est indispensable d'associer des capitaux privés, locaux et étrangers, à la mise en valeur du formidable potentiel de développement que représente ce secteur.

Les priorités de la nouvelle politique énergétique et minière sont de plusieurs ordres. Il s'agit notamment d'encourager la création de PMI et PME autour des différents pôles d'activités du secteur ; d'améliorer, par le biais de la concurrence, l'organisation managériale, la qualité et les coûts de production; d'exploiter les opportunités offertes par la globalisation, pour les investissements à l'intérieur (exportation d'électricité, valorisation des produits en aval du gaz et du pétrole, valorisation des produits miniers, etc.) et à l'extérieur.

Un nouveau statut pour la Sonatrach

Mr Chakib Khelil, ministre de l'Energie et des Mines et Président Directeur Général de la SONATRACH

In view of a more competitive market, algeria's energy sector, the most strategic sector of its economy, must be thoroughly prepared and organized to comply with the rules and regulations of world trade.

In the gas and oil sector, the first step is to abandon the reflexes of a centralized economy and set favorable rules and regulations for competition and free enterprise. "A bill was drafted clearly separating the functions of the state and companies. The function of the state is to govern economic and regulatory policies, whereas companies have a purely commercial role" explains Mr. Chakib Khelil, Minister of energy and mines and CEO of Sonatrach. Companies have thus the opportunity to operate in a free competitive market.

Sonatrach, the national oil and gas management company, will become, in this new legal framework, an operator like other operators, i.e. a purely commercial company, stripped of its former public powerhouse advantages. In the wake of this restructuring policy, Analft, a new agency, is about to see the day. Its duties will be to grant research and exploitation permits through calls for tender, to regulate the market and to collect company fees. However, Analft will mostly be in charge of promoting investment and guaranteeing access to the market with no discriminatory tariffs. In parallel to the reforms announced by the Ministry of Energy and Mines, companies of this sector will also be trained in the future system.

La Sonatrach, l'entreprise nationale de gestion du pétrole et du gaz, deviendra dans ce nouveau cadre légal, un opérateur, au même titre que les autres. C'est à dire une entreprise purement commerciale sans ses anciennes prérogatives de puissance publique. Dans le sillage de ces restructurations, une nouvelle agence, l'Analft, verra le jour. Son rôle consistera à accorder des permis de recherche et d'exploitation à travers les appels d'offres ; de réguler le marché et de percevoir les redevances dues par les compagnies. Mais l'Analft sera surtout chargée de promouvoir l'investissement et de garantir l'accès au marché sans tarifs discriminatoires.

Parallèlement, les réformes annoncées par le ministère de l'énergie et des mines seront accompagnées d'une formation des entreprises du secteur au futur contexte. La Sonatrach sera dotée d'un nouveau statut qui lui permettra de réaliser, sur un même pied d'égalité avec ses concurrents, des opérations commerciale. Ce processus sera accompagné d'une modernisation du management de l'entreprise et de l'acquisition de nouvelles technologies. A moyen terme, il s'agit aussi de préparer Sonatrach à l'ouverture de son capital." Notre ambition est de transformer la Sonatrach en une compagnie internationale qui soit leader dans la commercialisation du gaz dans la Méditerranée et le bassin atlantique. ", affirme le ministre Khelil qui souligne, en passant, le quasi-leadership dans la commercialisation du GPL et du condensa pour ces régions.

Installation de SONATRACH

Les ambitions de la Sonatrach, douzième compagnie mondiale du secteur, ne s'arrêtent pas là ; un projet d'extension de ses activités est prévu au Pérou, la société compte, par ailleurs, renforcer sa présence sur le marché nord américain.

La mise en œuvre de cette stratégie d'expansion nécessite une politique de partenariat pour la conquête de nouvelles parts de marchés, mais aussi, dans une certaine mesure, pour un accroissement des performances de l'entreprise, afin de faire face à la concurrence.Cette mise à niveau est le leitmotiv des deux plus importantes filiales de la Sonatrach, Naftal et Naftec. Avec 80% des parts de marché dans la distribution, le stockage, le transport et la commercialisation des carburants, du GPL, des lubrifiants et des produits spéciaux, la Naftal se devait d'initier un processus de modernisation et de réhabilitation de ses infrastructures.

Cette exigence passe par l'assise des normes de sécurité industrielle et de protection de l'environnement, par la modernisation et l'extension de son réseau de stations-service, par le renouvellement de ses moyens de transport, ainsi que par l'augmentation de ses capacités de livraison par pipe. Pour sa part, la Naftec, leader national dans le raffinage des produits pétroliers, réalise de grands efforts pour la réduction des facteurs polluants provenant des carburants.

Dynamisme du secteur para-pétrolier

Spécialisée dans l'engineering et la construction d'installations nécessaires aux compagnies du secteur énergétique, GCB tente d'intégrer l'esprit de compétition. Libérée de la tutelle de la Sonatrach depuis 1983, cette entreprise à été initiée plus précocement à un mode de gestion autonome et s'apprête activement à faire face à davantage de concurrence. " nous avons commencé à nous y préparer, il y a plus de cinq ans, au niveau de notre personnel, avec le développement de la formation, mais aussi de la planification, de l'informatique, etc. Toutes ces mesures sont prises pour faire face à une concurrence plus importante, mais aussi afin de pouvoir gérer de nouveaux défis ", explique Mr. Akli Tarzalt, directeur général de GCB.

Le challenge du désert; le savoir-faire algérien

Dans le cadre de cette mise à niveau, le partenariat fait également partie des priorités de GCB, afin, notamment, de profiter d'un apport technique extérieur. " Maintenant que nous avons un certain savoir-faire dans le génie-civil, nous avons envisagé d'exporter nos services. Nous nous sommes d'abord orienté vers un voisin, la Libye, mais nous ne voulons pas faire cavalier seul. C'est pourquoi nous sommes à la recherche d'un partenaire qui puisse nous accompagner pour aller affronter la concurrence dans d'autres pays. (…) N'ayant pas la pratique de l'exportation, nous souhaitons démarrer avec une entreprise qui a l'expérience et le savoir-faire nécessaire. ", remarque Mr. Akli Tarzalt. L'esprit de partenariat et de diversification des activités anime également GCB en direction du marché local ; tel est le cas de l'intérêt particulier que porte l'entreprise sur le secteur du bâtiment.
 
" Il y a une crise terrible de logements à Alger; de ce fait, nous recherchons un partenaire qui puisse nous apporter une technologie, un procédé de construction, avec lequel nous pourrions construire des logements à moindre coût. " explique le directeur général de GCB. Mr. Hadibi, P.D.G. de BJSP, une société para-pétrolière opérant principalement dans la cimentation et la stimulation des puits, est très optimiste pour l'avenir de son secteur en Algérie. Cette entreprise s'est, elle aussi, libérée du giron de la Sonatrach dans les années 80, pour acquérir progressivement son indépendance par rapport à l'Etat. " La force de la BJSP réside principalement dans la maîtrise de ses coûts de production " explique Mr Rahibi. Mais cette force se trouve aussi dans la qualité de ses partenariats ; tels Ali Burton ou encore Schlumberger. Les objectifs de la BJSP sont, quant à eux, bien défini, ils ambitionnent le leadership sur les marchés de base de l'entreprise.

Sonelgaz vers la perte de son monopole

La filière des gaz industriels poursuit quant à elle son essor, avec des projets portés par des entreprises ambitieuses, telles qu'Hélios et Cogiz qui produisent et fournissent 70% de l'hélium du marché européen. En mai dernier, l'appel d'offre lancé par Cogiz pour la création d'une usine à Skikda a débouché sur une perspective de partenariat avec l'allemand Linde avec la possibilité de fournir de l'hélium sur 80% du marché européen. Une étude pour la construction d'une troisième usine en 2006-2007 est déjà en cours. Et les perspectives de croissance ne s'arrêtent pas à ce stade. Mr. Mahdad, P.D.G. de Cogiz, explique en effet: " notre ambition est de nous associer avec des partenaires qui ont un savoir-faire, afin qu'on puisse aller prospecter ensemble les marchés européens et se développer ailleurs que dans le domaine de l'hélium et de l'azote ".
Bien entendu, le secteur phare demeure le pétrole, là où les investissements se multiplient au rythme des contrats signés en association avec la Sonatrach. C'est sur ce terrain que les partenaires étrangers suivent avec une très grande attention les évolutions du marché, promis à une plus grande libéralisation. Comme le dit Mr. Ian McIntosch, directeur général pour l'Afrique du Nord de Petro-Canada, " l'une des choses que nous avons vu en arrivant ici, ce sont les promesses de changement. Nous attendons réellement la nouvelle loi sur les hydrocarbures qui sera positive pour l'Algérie. Nous pensons qu'il y a là une opportunité de rendre l'Algérie plus attractive à l'investissement. Notre position est d'être constamment présent en Algérie, mais avec prudence en attendant les nouveaux changements ".
Quant à la nouvelle loi sur l'électricité, elle aura pour première conséquence la perte par Sonelgaz, la société nationale de l'électricité et du gaz, de son monopole. Cette grande entreprise publique sera transformée en une société qui pourra vendre ses actions aux investisseurs, offrant la possibilité à ces derniers de produire de l'électricité. Plusieurs entreprises internationales étudient de très près les opportunités de partenariats dans ce secteur de l'électricité, si elles ne se sont pas déjà engagées.

Récapitulatif des liens algéro-asiatiques

Si, depuis toujours, le partenariat a été très dense avec les pays européens et les Etats-Unis, la commercialisation des hydrocarbures et du gaz naturel de l'Algérie vers l'Asie subit l'handicape naturel de la géographie. En témoignent les exportations vers l'Asie qui n'ont jamais atteint la barre des 2 millions de tonnes par an. Cela n'empêche pas Sonatrach d'être présente en Asie, à travers sa filiale SPC-Asia (Sonatrach Petroleum Corporation Asia) qui exerce le trading à partir de Singapour. La SPC enregistre d'assez bons résultats, dans la mesure où elle commercialise pour une moyenne de 12 millions de tonnes/an, avec une marge bénéficiaire de 25 millions de dollars (1999).

La coopération avec l'Asie ne s'arrête pas là, à l'image du contrat signé par SPC avec Kawasaki Heavy Industries pour l'acquisition de deux nouveaux navires GPL, livrés en 2000. Précédemment, le partenariat avec la Malaisie avait fait un grand pas en avant, avec la signature, en décembre 1996, d'un contrat de recherche et d'exploitation au gisement El-Hidjara-Oued-El-Maraa, avec Petronas Carigali. Ce contrat traitait d'un financement de 38 millions de dollars pour une coopération s'étalant sur sept ans, comprenant le forage de quatre puits et la formation du personnel de la Sonatrach.

Les liens avec les compagnies asiatiques ont été approfondis progressivement ; la foire-exposition de Kuala Lampur de 1998, à laquelle avait pris part l'Algérie, donnait d'ailleurs un bel aperçu des intentions d'investissements de certaines d'entre elles en Algérie. Ainsi, en avril 2000, un accord portant sur l'amont pétrolier a été signé entre la Sonatrach et Petronas ; une série de projets ont, par ailleurs, été retenu pour des transformations en pétrochimie avec la raffinerie de Skikda. En juin de la même année, un contrat a été avalisé entre la Sonatrach et BHP (Australie), en association avec la firme américaine Petrofac et la japonaise JOOC, pour le développement et l'exploitation du gisement d'Ohanet (sud algérien). L'investissement est de l'ordre de 928 millions de dollars ; JOOC y contribue à 30%. Au menu de ce projet: une usine de gaz et une usine de carburant à réaliser, ainsi que 236 km de canalisations et 47 puits de développement, pour une durée d'exploitation de 8 ans.

Sur le marché algérien des services pétroliers, il y a lieu de noter la présence de la firme japonaise JGC, activant dans l'important gisement de Birkine qui offre une capacité de 300.000 barils/jours. Enfin, en mai 2001, l'Algérie a activement participé à la conférence internationale sur le GNL (gaz naturel liquéfié) de Séoul. En juin 2003, le pays espère pouvoir apporter sa contribution lors du congrès mondial du gaz à Tokyo. Il est vrai que certaines questions, dont celles relatives à l'environnement ou à la percée du GTL (gas to liquid), le nouveau carburant écologique, offriront certainement à l'Algérie de sérieuses opportunités d'échanges. Il convient également de souligner l'implication des banques asiatiques pour soutenir ces relations, à l'image des garanties de 50 et 80 millions de USD accordé respectivement par la Corean Exion Bank et la Japan Exion Bank qui marquent d'une volonté politique de raprochement, au même titre que la recente visite de la présidente indonesienne et du premier Ministre chinois en Algérie au mois de septembre dernier.

Intensification de la production minière

Le scandale géologique algérien, une couche de 30 mètres de phosphate

Avant l'indépendance (1962), l'activité minière en Algérie était orientée principalement vers l'exploitation des gisements de fer et de plomb - zinc. Un effort de prospection durant ces 30 dernières années a permis de développer l'infrastructure géologique de base et d'inventorier un grand nombre de sites, dont certains offrent de réelles perspectives d'investissement. Ainsi, en plus de l'exploitation de base (fer, sel, zinc, plomb, marbre, baryte, etc.), les recherches entreprises ces dernières années, ont permis de trouver des gisements d'or, de wolfram, d'étain, d'argent, de diamant, de mercure, de métaux rares et pierres précieuse et semi-précieuses.

Plus en avance dans le programme de libéralisation, le domaine minier est régi par une nouvelle loi approuvée en juin 2001. Elle permet, notamment, aux investisseurs privés d'exploiter les mines mises en concession et d'en commercialiser librement le produit. Instrument privilégié de ce secteur, l'Office de Recherche en Géologie Minière (ORGM) dispose d'une banque de données sur les mines, accessible aux investisseurs. Depuis la mise à disposition de ce service, trois appels d'offres pour la mise en concession de mines ont permis de lancer près de soixante dix projets d'exploitation, au nord du pays et dans les hauts plateaux. Dans le même temps, le ministère de l'Energie et des mines recherche des partenaires pour le traitement et l'exploration de l'or. Les gisements d'or devraient, en effet, connaître une exploitation plus continue. Cette tâche revient à l'entreprise nationale de l'or (Enor), qui a déjà réussi la première mise aux enchères de 60 kg de ce métal précieux en avril dernier. Des ventes similaires seront organisées périodiquement en Algérie. L'Enor a, par ailleurs, créé sa propre entreprise d'exploitation du gisement de Tirek au sud du pays, avec une capacité de 2000 tonnes/an. Un avis d'appel d'offres a aussi été lancé pour l'exploration du diamant et de l'or dans le sud-ouest de l'Algérie ; d'autres en appellent au partenariat pour l'exploitation du zinc et du plomb, ainsi que pour 50 petites mines de marbre, de pierres décoratives, d'agrégats, et de sel.
 
Activant dans la production du phosphate et du fer, Ferphos, aux dires de son Président directeur général, Mr. Mebarki, est l'exemple même de l'extraordinaire potentiel minier du pays ; " notre force est la possession d'un immense gisement de phosphate avec 2 milliards de tonnes de réserves. Notre gisement est le seul au monde à avoir une couche de 30 mètres de phosphate, l'un des plus réactifs au monde. (…) Nous avons les capacités d'extraire jusqu'à 4 millions de tonnes en phosphate brut ". En matière de partenariat, Mr. Mebarki révèle que l'association entre Ferphos et Ispat LNM a permis d'élever la production en fer à 240 millions de tonnes, principalement au profit du marché local. Avec de tels atouts, Ferphos a les moyens de ses ambitions, et non des moindres. " Nous comptons lancer très prochainement un premier projet de production d'acide phosphorique et de DAP en Algérie. Un deuxième projet vise à produire environ 150 milles tonnes de phosphate. Nous ciblons 750 milles tonnes par jour en matière d'acide phosphorique ", explique Mr. Mebarki qui en appel aussi à de nouveaux partenariats ; " Ce que nous recherchons en eux, c'est la technologie et un bon marché. Nous sommes ouverts à toutes propositions et discussions et sommes prêt à nous associer avec des partenaires étrangers, même au niveau du gisement. La nouvelle loi minière d'Algérie est un atout extraordinaire ".

L'objectif principal poursuivi est donc d'impulser un nouvel élan de développement au secteur minier afin qu'il contribue de manière significative à la relance de l'économie algérienne. Les perspectives de développement prennent donc principalement en considération la poursuite des efforts de modernisation de l'outil de production, l'intensification des recherches, ainsi que la recherche de partenaires étrangers détenteurs de capitaux, de technologies et de réseaux commerciaux pour le développement des activités minières.

Prise de conscience environnementale

La grande innovation apportée par le gouvernement en matière d'énergie, concerne la prise en charge de la question environnementale. Dans cette tâche, l'agence APRUE constitue l'instrument clé, notamment dans le domaine des énergies renouvelables.

Les énergies renouvelables, un potentiel important de développement

Dans ce secteur de pointe, le partenariat et le recours à l'expertise étrangère est un objectif stratégique. Donnant un aperçu du marché, Mr. Bouzeriba, directeur général de l'APRUE déclare: " nous orientons nos efforts vers les zones isolées, les zones où l'énergie conventionnelle n'est pas compétitive. Elle n'y est ni disponible, ni compétitive, parce qu'il faut la transporter sur de longues distances. Ces zones isolées, qui ne sont pas connectées, représentent autour de 4 à 5% du territoire national.(…) C'est donc toute cette partie du territoire qui devra être alimentée en énergie et, à première vue, l'énergie renouvelable pourrait constituer une alternative, parce qu'en termes d'investissements c'est beaucoup moins important mais cependant très rentable ".

Les restructurations que connaît le secteur énergétique sont capitales pour le développement et la croissance du pays. Outre l'exploration, un éléments décisif de cette croissance réside dans les projets de pipe line reliant l'Algérie à l'Italie (Enrico Mattei), à l'Espagne (Pedro Durran Farrecc) et à terme peut-être aux pays d'Afrique. Actuellement, on compte 11 pipe line gazier et 14 pour le pétrole sur une distance de 13.000 km. Dans ce marché en pleine expansion, l'Algérie bénéficie d'une situation géostratégique de choix, c'est ainsi que le pays développe de solide relations commerciales avec les pays d'Europe, les Etats-Unis et ses voisins du Maghreb. Pour le secteur minier, l'Etat entend toujours exercer son rôle de propriétaire du domaine, de promoteur de l'investissement et de régulateur de l'activité économique. En revanche, par l'adoption récente de lois, il entend se désengager des activités commerciales et accroître la contribution du capital privé à l'effort de développement du secteur.

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© World INvestment NEws, 2002.
This is the electronic edition of the special country report on algeria published in Far Eastern Economic REVIEW.
November 28th, 2002 Issue. Developed by AgenciaE.Tv